La 7e édition du festival du film francophone de Belgique débarque à Budapest, Veszprém et Szeged les 18, 19 et 20 novembre.
Cette initiative de la Fédération Wallonie-Bruxelles, chapeautée par le réseau de lectrices en Hongrie, entend promouvoir le cinéma francophone belge tout droit venu de Wallonie et de Bruxelles !
Cet événement offre au public hongrois une sélection de quelques longs et courts métrages contemporains qui n’ont pas eu l’occasion d’être distribués en Hongrie. En effet, peu de nos réalisateurs sont distribués en terres magyares et ce festival y déploie toute la richesse et la diversité du cinéma belge.
Pour l’édition 2015, c’est le premier long-métrage du réalisateur Camille Meynard qui est mis à l’honneur: Tokyo Anyway. Un film expérimental qui raconte quelques tranches de vie de quatre trentenaires aux prises avec les choix qui détermineront leur avenir.
Ce film est distribué dans les trois villes: le 18 à Budapest, le 19 à Szeged et le 20 à Veszprém.
Deux autres longs-métrages l’accompagneront : Les rayures du zèbre de Benoît Mariage sera diffusé le 19 novembre à Budapest. Pour rappel, ce film plonge le spectateur dans le monde du football où José, agent de joueurs, a pour mission de dégoter les perles rares en Côte d’Ivoire, pour les ramener en Belgique.
Pour incarner un footballeur surdoué, le réalisateur namurois a offert à Marc Zinga son premier grand rôle au cinéma. Bien vu !
Le lendemain, c’est Le sac de farine de Kadija Leclere, qui fera traverser aux spectateurs hongrois les frontières et la Méditerranée puisqu’il se déroule successivement en Belgique et au Maroc. Une sélection particulièrement salutaire dans un contexte compliqué.
Finalement, une soirée courts-métrages clôturera l’événement à Budapest avec une sélection de 6 courts-métrages.