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Après une parenthèse motivée par les Film days, puis le FIFF namurois, qui ont captés toute notre attention, voici le best of de retour sur le site. En Belgovision.Ce lundi 17 octobre, c’est déjà le volume 12 de la compile la plus exclusive du cinéma belge
Et toujours en mode extended. C’est plus copieux, plus calorique, bifluoré et enrichi au calcium. Très nourrissant, donc. Et excellent pour la santé.
La page Facebook vous a mis l’eau à la bouche, le site vous tend la fourchette….
Au menu, cette semaine, les Oscars vus du Canada, l’épidémie de vache folle qui touche les States, les Géants en visite dans le Grand Nord ricain, un trio amoureux à l’ombre de l’Atomium et quatre paresseux qui font la sieste sous le figuier.
[Telex] – Les surprises de l’Europe – Dans un article consacré aux films sélectionnés par les différents pays pour les représenter aux Oscars, le site canadien Canoë dresse la liste de quelques surprises importantes, pour les critiques qui vivent de l’autre côté de l’Atlantique, en tous cas… Les Canadiens sont ainsi sidérés que l’Espagne ait délaissé La piel que habito, de Pedro Almodovar, au profit de Pa Negre, d’Agusti Villaronga (qui a quand même remporté neuf prix Goya). En Italie Terraferma du cinéaste Emanuele Crialese supplante Habemus Papam de Nani Moretti.
Du côté de la France, Canoe attendait The Artist, de Michel Hazanavicius, et c’est La Guerre est déclarée qui s’y colle*. Le dernier pays épinglé est la Belgique où le journaliste québécois s’étonne qu’on n’ait pas retenu Le Gamin au Vélo des frères Dardenne ou même Hasta la vista de Geoffrey Enthoven (qui a fait sensation à Montréal), mais Rundskop. Cette remarque ne serait qu’anecdotique si elle ne signifiait qu’en fait, les Canadiens estiment que trois de nos films ont le potentiel pour entrer dans la course aux Oscars. Et ça, c’est bien
*Pour la France, le doigt du journaliste canadien a glissé sur son clavier: La Guerre est déclarée devient ainsi Rien à déclarer. Qu’on n’attendait pas vraiment aux Oscars … 😉
[Telex] – Bruxelles, ma belle – Bruxelles est bien la capitale emblématique de l’Europe, l’endroit où se croisent les nationalités les plus différentes, où naissent les histoires les plus improbables. Dans « Atomium », le réalisateur hollandais Norbert Ter Hall, invente un chassé-croisé amoureux entre une Espagnole, un Allemand et un Néerlandais tous amenés, pour diverses raisons, à travailler au cœur des bâtiments de la communauté européenne. Frais, plein d’imagination, et doublé d’une dimension métaphorique fascinante qu’on ne comprend que sur la fin du scénario, le film est produit par Eyeworks très fameuse société flamande qui a notamment mis en chantier De Zaak Alzheimer, Het Paard van Sinterklaas, Sœur Sourire, Dossier K, ou le mythique Ben X de Nic Balthazar. Impressionnant, non? D’autant qu’on peut ajouter à la liste Zot van A, Rundskop (!), Swooni ou Tot Altijd de Nic Balthazar qui va nous arriver incessamment sous peu!
[Telex] – Dodo, l’enfant do – Quand on vous dit dans notre Grand Écran n°6, que Jonathan Zaccaï et Marie Kremer font la sieste sous le figuier, il faut prendre cette affirmation dans le sens le plus littéral du terme. La preuve :
[Telex] – Les Géants du Nouveau Monde – Jusqu’au 23 octobre, le Festival du nouveau cinéma de Montréal célèbre sa 40e édition. Le plus ancien des festivals de films du Canada présentera cette année une programmation très alléchante avec plus de 290 oeuvres en provenance de 45 pays. Et, parmi les 19 longs métrages sélectionnés en compétition pour la Louve d’Or, qui trouve-t-on? Mais « Les Géants » de Bouli Lanners, bien sûr…
[Telex] – La Belgique exporte son bœuf aux States – Avec son triomphe au FilmFestival d’Austin, Rundskop a attiré l’attention et suscité les convoitises de quelques distributeurs américains. Mais proximité oblige, ce sont les organisateurs du festival eux-mêmes qui ont emporté le morceau. Drafthouse Films, leur compagnie est toute jeune. Jusqu’ici, elle n’a encore proposé aux États-Unis qu’un seul film; européen, lui aussi. Et pas n’importe lequel puisqu’il s’agissait du subversif Four Lions. Au départ Tête de Bœuf bénéficiera d’une distribution ciblée sur 20 écrans texans qui appartiennent à la société. Mais dès le début de l’année prochaine, Matthias Schoenaerts aura l’opportunité de dynamiter les hormones des New-Yorkaises et des Californiennes versées dans le thriller rural. Et plus si affinités. En cas d’Oscar, par exemple…