Je suis supporter du Standard (mais je me soigne)

C’est un rendez-vous amoureux. Milou a invité Martine dans un resto très select. Milou est moniteur d’auto-école, Martine voudrait passer son permis. Mais Milou est surtout… supporter du Standard. C’est grave docteur? Tout supporter d’Anderlecht vous dira que oui. Mais dans l’absolu, on peut vivre avec ce handicap. Sauf si cette passion devient compulsive et obsessionnelle. Sauf si elle prime sur tout le reste. Sauf si elle vous empêche de mener une vie sociale équilibrée et une vie amoureuse. Si évidemment, c’est ce que vous désirez plus que tout.

 

Je suis supporter du Standard est une comédie. Et pas un film sur le foot. Nous vous en parlerons bien plus en détail dans un prochain article, mais nous ne pouvons résister au plaisir de vous montrer les premières images de ce premier long métrage réalisé par Riton Liebman (photo ci-dessous devant le combo). Le tournage s’est achevé vendredi par la grande fête que vous devinez.

 

 

Lundi dernier, nous étions à l’Hôtel Métropole pour recueillir les témoignages de Riton, mais aussi de David Murgia qui joue Looping son pote déjanté, de Léa Drucker (Martine) et de Philippe Kauffman qui coproduit le film en Belgique pour La Parti.

Un grand Écran en vue? Bingo ! Vous avez deviné et aussi pas mal de director’s cuts et de portraits tant la moisson a été bonne. Un vrai régal.

 

[Léa Drucker en amour devant Riton]

 

[Comme pour Il était une fois une fois, la grande salle à manger de l’Hôtel Métropole est aménagée en salle de tournage.]

 

[Retouche maquillage entre chaque prise: gare au faux raccord !]

[Frédéric Noirhomme est le chef op’ attentif du film : on lui doit notamment la sublime photo de Kill me please]

 

[La table des amoureux en plan large. Bienvenue dans les coulisses d’un tournage]

 

[Le combo est comme d’habitude l’élément central du tournage. Peut-être plus encore pour celui-ci puisque Riton qui se met en scène l’utilise entre chaque prise pour visualiser la scène].

 

[Entre chaque prise, on débriefe. Ici, on est en démocratie et tout le monde s’exprime]