On les a suivis dès le tournage, Michaël, Erika et Vincent, dans cette drôle et belle aventure qu’est devenu Je suis resté dans les bois. Ils se livraient à l’époque sur leurs envies, leurs doutes, leurs inspirations, et surtout leur complicité. A trois mieux vaut être sur la même longueur d’ondes, et ces trois-là s’écoutent, se parlent, se complètent, et racontent leur film, tel qu’ils l’ont rêvé, et réalisé.
Michaël Bier, Erika Sainte et Vincent Solheid, rencontrés sur le tournage du film, reviennent sur ses origines, et sur le processus de création.
- C’est quoi, ce film?
2. Une comédie de proximité
3. La magie des accidents
4. Rire « malgré » l’art contemporain
5. Poursuivre l’aventure entamée avec « Le Grand Tour »
6. Décloisonnez la production: un manque de confort assez confortable…
7. Laisser de la place aux accidents de tournage
8. Laisser à chacun la place de s’exprimer
A la production du film, on retrouve Eklektik, qui s’était déjà démarqué en produisant dans des conditions « guerilla » le deuxième long métrage de Joachim Lafosse, Ca rend heureux. On retrouve Marie Besson, productrice, sur le tournage de ce film, et avant celui de leur premier long métrage « classique », Une part d’ombre de Samuel Tilman.