« Jusqu’ici tout va bien » en tête sur Netflix

Jusqu’ici tout va bien, la série écrite, réalisée et interprétée par Nawell Madani se classe en tête du Top Ten du week-end de Netflix France, et n°2 en Belgique!

L’autrice et comédienne belge est donc de retour 5 ans après C’est tout pour moi, son premier long métrage, dans un registre où on ne l’attendait pas forcément. Si la famille, déjà au coeur de son film, reste l’un des points de repèr, voire l’élément central de cette nouvelle fiction, elle s’essaie cette fois-ci au thriller, plongeant son héroïne dans un engrenage qui se referme un peu plus à chaque épisode.

Ca commence sur les chapeaux de roue. Tête de gondole diversité d’une chaine info dont elle ne cautionne pas forcément la ligne éditoriale, Fara rêve pourtant d’y présenter le JT, surement pour guérir une blessure narcissique héritée lorsque petite fille, son père abandonne son foyer familial. Caressant le rêve naïf mais persistant de le voir, à défaut de revenir, au moins s’intéresser à elle, elle s’accroche dans ses études de journalisme, et supporte les compromis pour arriver à ses fins.

Quand la série commence, Fara galère pour payer son loyer, et végète sur le terrain, si possible en banlieue où elle « reporte » des violences souvent plus fantasmées que vécues, mais miroitant d’un instant à l’autre la promotion qu’on lui a promise. Alors que le rêve est sur le point de devenir réalité, elle est rattrapée par les erreurs de son jeune frère qui lui retombent dessus. Peu rompue aux codes de la criminalité, elle fait pire que mieux en croyant bien faire, et se plonge elle-même et sa famille dans un engrenage infernal…

Pour connaître la suite, rendez-vous sur Netflix!

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