Quand Fabrice du Welz débarque sur la Croisette en 2004 avec Calvaire, sélectionné à la Semaine de la Critique, il est déjà connu des téléspectateurs de Canal Plus. Mais c’est à un vrai choc esthétique et cinématographique qu’ils doivent s’attendre avec ce long métrage, retenu dans le cadre de l’opération 50/50.
L’iconoclaste réalisateur revient sur sa découverte du cinéma belge, ainsi que sur l’aventure Calvaire.
André Delvaux, un cinéma à la lisière
Faire du cinéma belge et irrévérencieux, c’est possible
Calvaire, un parcours mouvementé