Dans ce 6ème épisode de notre série estivale « Le cinéma belge et moi », nous retrouvons la jeune réalisatrice Sarah Hirtt, dont le premier court métrage, En attendant le dégel, avait été sélectionné à la Cinéfondation à Cannes, et qui s’apprête à tourner à l’automne son premier long, Escapada, dont elle nous parle ci-dessus.
Toujours dans le cadre de l’opération 50/50, nous avons rencontré les jeunes cinéastes et comédiens lauréats et nommés des Magritte du cinéma belge qui ont réalisé en février dernier les « Cadavres Exquis » que nous vous dévoilons depuis le mois de juin: ici, celui des Barons, ici, celui de L’Iceberg. Comme aux réalisateurs repris dans les 20 longs métrages sélectionnés par la Fédération Wallonie-Bruxelles, nous leur avons demandé comment ils définiraient aujourd’hui le cinéma belge, quels sont leurs meilleurs souvenirs de cinéma belge, et également comment ils ont vécu leur prix ou leur nomination aux Magritte.
Un cinéma riche de sa diversité
Les moments de réel dans Between The Devil and The Deep Blue Sea de Marion Hänsel