Depuis Ultranova (2004) et plus encore Eldorado (2008), Bouli s’est également imposé comme un des réalisateurs majeurs dans notre pays.
Un homme qui fait des films avec un ton, un rythme, des trognes, un humour et une ambiance qui n’appartiennent qu’à lui. Contrairement à Eldorado, il n’apparaît pas dans Les Géants. Est-ce le signe avant-coureur d’un changement de direction? D’ailleurs Bouli préfère-t-il jouer ou diriger? Et quand il joue, aime-t-il cumuler les tâches? Et tant qu’à poser des questions compliquées (que, vous le verrez, il se refuse parfois à trancher), nous lui avons aussi demandé s’il prenait plus de plaisir à faire rire ou à émouvoir.