Le Festival de Cannes a levé un coin du voile sur Alleluia, le troisième long métrage de Fabrice Du Welz à atteindre les écrans de cinéma (on attend toujours Colt.45, présenté au marché du film de Berlin, mais pas encore sorti).
Projetée à la Quinzaine des réalisateurs, cette love story infernale a enflammé les fans de films de genre et une bonne partie de la critique, sensible à la démarche artistique terriblement originale effectuée par le réalisateur belge et son chef opérateur Manu Dacosse, cité dans la quasi-totalité des articles évoquant le film, ce qui est un signe rare qui ne trompe pas.
Si Fabrice disposait sur le tournage de son propre photographe de plateau (Kris Dewitte), il a également accueilli des regards extérieurs sur son plateau. On a connu des artistes moins ouverts et on le remercie évidemment pour cette générosité.
Notre équipe faisait partie des privilégiés, tout comme le photographe liégeois Rudy Lamboray qui s’apprête à lever le voile sur sa fameuse exposition Les 50 salopards. Ce sera chose faite ce week-end au festival du film de Bruxelles et nous reviendrons bien sûr sur cet évènement que nous suivons avec une attention passionnée depuis de longs mois maintenant (voir ici ou ici.).
[Photo : © Rudy Lamboray]
Sur le set, Rudy a réalisé une série de formidables clichés parmi lesquels il nous a permis de piocher à notre guise. Histoire de vous replonger dans un tournage étonnant qui ne pouvait forcément enfanter qu’un film hors normes.
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]
[Photo : © Rudy Lamboray]