Courts Mais Trash, 31 courts belges au programme!

Depuis 14 ans, Le Festival Courts Mais Trash réunit les curieux et les amoureux du cinéma indépendant. Unique en son genre, il permet à des films auto-produits, émergents, bruts, low-budgets d’être projetés sur grand écran dans des conditions optimales et de trouver son public qui décidera seul du Palmarès.

Une ambiance incomparable, sans tapis rouge, ni jury, ni salon VIP, où les cinéastes sont en interaction directe avec les spectateurs.

Pour cette édition 2019 (du 16 au 20 janvier), les séances se dérouleront, en plus de son fief historique des Riches-Claires, au cinéma Palace! Au programme : une centaine de films « trash », fauchés, politiques, décalés.

Cette année surtout, l’inattendu filmique est mis au féminin. Dans la section « Female Trouble », et au-delà de celle-ci, les femmes s’expriment, se redéfinissent, défient la notion même de leur genre. Ni une catégorie, ni une classification, la femme est une figure cinématographique à part entière sous-représentée. Nous offrons donc a sa vision créatrice le spotlight, pour qu’une lumière plus forte continue de briller sur elle en établissant l’équité qui lui est dû dans la durée.

Sur les 31 films belges de la programmation, 8 prendront part à une compétition nationale:

Homezik/ Yvette – Kiesskassortiça de Noé Reutenauer

Pantin de Timothée Crabbe

Sizzlin Bacon’ de Leander JR Hanssen

Shoes de Ray Kermani

Pétanque 51 de Théo Guyot Serieys

Ladybawler d’Emilien Vekemans

Dispersion deBasile Vuillemin

Haar naam was d’Helena Dalemans

Plus d’infos sur le site du festival.

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