Laila, une jeune informaticienne marocaine sans emploi, quitte son pays pour un travail de saisonnière en Belgique. La jeune femme atterrit dans la petite exploitation agricole familiale d’André, un cultivateur de pommes. Très vite, Laila déchante, lorsqu’elle découvre le système profondément injuste qui règle les contrats des saisonniers. Peu à peu, son sentiment de révolte contamine son entourage et l’exploitation d’André va en être bousculée.
Tel est le pitch d’Insoumise, deuxième long métrage de fiction réalisé par Jawad Rhalib après le sulfureux 7 rue de la Folie qu’on attend dans nos salles pour la fin du mois de septembre.
Avant cela, Jawad avait tourné une série de documentaires, filmés à travers le monde, comme Le Chant des Tortues, les damnés de la Mer ou El Ejido, la loi du profit. Il y traite principalement des dégâts de la globalisation, un thème qu’il a décliné dans son nouveau long métrage en l’abordant sous un angle très spécifique.
Tourné entre la Belgique (essentiellement) et le Maroc, Insoumise met en vedette la sulfureuse Sofiia Manousha, déjà présente dans 7 rue de la folie, avec nos compatriotes Hande Kodja (Rosenn), Benjamin Ramon (Etre) et Benoit Van Dorslaer.
Produit par Iota qui possède dans son line-up, trois oeuvres plus que prometteusess, Insoumise est attendu pour fin 2015, début 2016 après un passage probable dans quelques festivals.
Nous reviendrons tout l’été sur ce ‘été, mais histoire de planter le décor, nous vous proposons un premier contact avec les principaux protagonistes de l’aventure : Benjamin Ramon évoque son personnage, Jawad donne le ton du film, Hande Kodja parle de ses camarades de jeu et Sofiia Manousha se remémore sa rencontre avec Jawad Rhalib.
Benjamin Ramon évoque son personnage
Jawad Rhalib donne le ton du film
Hande Kodja parle de ses camarades de jeu
Sofiia Manousha se remémore sa rencontre avec Jawad Rhalib